Publié le 11 Décembre 2015

Un air de Noël à l'aéroport d'Orly

Chants Gospel et mélodies de Noël en différentes langues interprétés par 35 choristes

Samedi 12 décembre 2012

de 11h30 à 13h30

venez écouter la chorale oecuménique de Saint Germain en Laye

à Orly

terminal sud, niveau arrivées

 

Bienvenue!

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Publié le 9 Décembre 2015

Bavarder ou dialoguer?

"Mes frères et sœurs bien-aimés, que chacun soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère..." Jacques 1:19

           À l’heure des réseaux sociaux, chacun peut tout commenter en permanence. Mais est-ce vraiment un bien ? 

           En direct du monde, des téléphones vibrent, des tweets fusent, des radios bourdonnent. C’est un bruit de fond permanent. Une rumeur continuelle, faite de paroles immédiates, de commentaires à chaud, d’opinions tranchées, d’analyses réduites à quelques mots.

         On bavardait aussi jadis, dans les chaumières aux veillées, sur les places de marché ou en lavant le linge au lavoir du village. Pourquoi avons-nous aujourd’hui l’impression d’être davantage envahis par le bavardage ? Peut-être parce que nous ne sommes plus dans des situations de conversations privées, de discussions en tête-à-tête. C’est particulièrement le cas pour les abonnés du réseau Twitter, cet outil qui permet d’envoyer en une fraction de seconde un bref message, comme un abrégé de son existence, à ses correspondants. Chacun peut désormais se poser sur le fil électrique pour gazouiller (twitter, en anglais). Que l’on soit une célébrité ou un illustre inconnu, un sportif renommé ou un homme politique, chacun peut commenter le fil de l’actualité ou le quotidien de sa vie.

          La France compte maintenant 60 millions de sociologues, de politologues, de philosophes et de théologiens… en herbe. C’est un gigantesque Café du Commerce virtuel où les opinions se font et se défont, et tout cela en 140 caractères, fautes de frappe en bonus.

          Certes, bavarder pour ne rien dire n’a pas que de mauvais côtés. Il est important de savoir dire des futilités. Ce ne sont pas des messages sans importance. Ils mettent de l’huile dans les rouages de la société. Ils permettent de prendre contact avec le prochain. Après tout, quand on dit « Bonjour, comment ça va ? » ou bien « Il fait beau aujourd’hui », ce sont également des propos insignifiants mais qui sont rudement importants pour maintenir des rapports à peu près civilisés !

         On pourrait dire également que les réseaux sociaux nous aident à connaître les autres autrement, par les petites choses de la vie, qu’on n’avait pas l’habitude de partager. Ces mots modestes jetés à la volée contribuent donc aux relations sociales.

           Tout cela est très bien mais…

          Cette société de bavardage peut être dure à vivre, particulièrement pour les grands timides, et les grands silencieux. Le bavardage peut couper également toute communication, spécialement lorsque le beau-parleur volubile est perçu comme un manipulateur dont il faut se méfier.

          Le bavardage peut être enfin une maladie qui nous rend incapables d’attention à l’autre et de concentration. On commence par ne plus écouter les profs à l’école, pour ensuite éviter les vrais débats, voire toute discussion.

           Alors, existe-t-il un moyen de s’en sortir ? Le seul qui ait fait ses preuves, c’est de réapprendre à écouter l’autre.

           Et donc à se taire.

                                                                                                                        José Loncke

                                                                                                            tiré de Croire et Vivre, n°112

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Publié le 7 Décembre 2015

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Publié le 5 Décembre 2015

Dimanche de la mission

Dimanche dernier, dernier dimanche de novembre, était normalement le dimanche mis à part par la FEEBF pour encourager nos églises à prier pour la mission et pour soutenir un ou plusieurs projets missionnaires de notre Fédération.

David et Jessie Boydell, les orateurs que nous avions pressentis, étant pris par ailleurs ce jour-là, nous avons déplacé notre dimanche missionnaire d'une semaine.

     C'est donc demain, dimanche 6 décembre, qu'ils viendront nous parler de l'EBMI (Eglises Baptistes en Mission), et plus particulièrement d'un projet missionnaire qu'ils suivent de près en Turquie.

    Soyons nombreux à les accueillir, et venons ainsi recueillir toutes sortes de sujets d'intercession concernant le ministère de nos envoyés dans d'autres contrées de notre globe !

 

  ​ Rappel:

A cause de l'état d'urgence décrété par le président de la République, et pour des raisons de sécurité, la direction de l'école Blanche de Castille nous demande de fermer la grille à clé après l'arrivée des participants à nos cultes dominicaux. Pensez donc à arriver avant l'heure afin que personne ne soit obligé de faire des va-et vient incessants pour ouvrir aux retardataires!

Un grand merci pour votre compréhension!

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Publié le 3 Décembre 2015

Gospel en matinée à Orly

                            Le trio "Godspel" se produira ce samedi 5 décembre à Orly

                                                      de 8h30 à 10h30 !

 

                            Si vous voulez venir les écouter, il faudra vous lever tôt !

 

                                   Ils chanteront negro-spirituals et chants Gospel

                                           au terminal ouest, niveau 1, porte G 

 

                                                            Bienvenue !

 

Si vous ne pouvez pas venir, ou que vous n'ayez pas le courage de vous lever tôt un samedi matin, priez pour que tout se passe bien et que les chants qu'ils chanteront pourront toucher les coeurs de ceux qui les entendront...

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Publié le 2 Décembre 2015

Prières et chants place de la République à Paris

Photo Billy Graham Evangelistic Association

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Publié le 1 Décembre 2015

     La Bible, un livre vieillot et périmé? Personne ne la lit plus, disent certains... Allons donc !

     Des chrétiens la distribuent largement de par le monde afin qu'elle puisse continuer à toucher des vies dans nos sociétés marquées par une recrudescence de violence et de non-sens.

     Prions que par ces distributions massives, des existences continuent à être transformées et que notre monde puisse s'ouvrir à l'amour de Dieu et à la solidarité humaine !

   

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Publié le 30 Novembre 2015

Soutien dans la prière

Quelques mots de la part de nos responsables fédératifs

     Notre pays est encore en deuil suite aux attentats perpétrés à Paris et à Saint-Denis le vendredi 13 novembre. Nous avons trop durement entendu le son des armes et vu le sang ​couler​.

   Nous vous encourageons à demeurer dans l'espérance de notre Seigneur Jésus-Christ, nous ne sommes pas seuls ! Il est notre bouclier et notre Roi !

      Nous tenons ici à remercier toutes les Unions Baptistes (Inde, Etats-Unis d'Amérique, ​Europe, ​Espagne, Hongrie, Soudan du Sud, Chili, Belgique, etc...) qui se sont manifestées pour nous exprimer leur sollicitude, leur compassion et nous assurer de leurs prières.

       La Fédération des Eglises Évangéliques Baptistes de France est très sensible à toutes ces marques de soutien et d'affection qui lui ont été exprimées et demande à l'ensemble de ses églises de relayer cette information à l'attention de tous ses membres et sympathisants.

        En Christ, notre paix et notre espérance,

                               Thierry Auguste, Président de la FEEBF

                                Marc Deroeux, Secrétaire Général de la FEEBF

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Publié le 29 Novembre 2015

Protection de l’environnement et responsabilité chrétienne

Dans la perspective de la COP 21 qui débute aujourd'hui, la prédication de ce jour du pasteur William Hatton avait trait à la responsabilité du chrétien vis-à-vis de son environnement replacée dans le cadre de l'attente de l'Avent.

Pour aller plus loin, voici un bref extrait d'un article du pasteur évangélique et conférencier Frédéric Baudin, article qui peut être lu dans sa totalité sur : http://larevuereformee.net/articlerr/n232/bible-et-ecologie-protection-de-lenvironnement-et-responsabilite-chretienne

       Les questions écologiques ont une importance croissante dans le débat public depuis environ une cinquantaine d’années, lorsqu’on a pris conscience de la puissance dévastatrice de l’arme nucléaire et des conséquences de la pollution engendrée par l’exploitation industrielle des ressources naturelles de la planète.

        Malgré une nouvelle attention portée à la « nature » grâce au romantisme et à l’essor des sciences naturelles au XIXe siècle, les hommes et les femmes dans leur ensemble n’ont pas vraiment su anticiper la crise écologique; les chrétiens n’ont pas toujours réagi avec la rapidité que l’on était en droit d’attendre de leur part, sauf peut-être dans quelque cénacle théologique ou œcuménique, où l’on s’efforçait pour le moins de réfléchir. Mais le mouvement semble s’inverser depuis une trentaine d’années (...)

     Les chrétiens, comme d’ailleurs les non-chrétiens, vivent parfois avec la pensée, plus ou moins consciente, que les ressources naturelles sont sans limite, que la diversité biologique ne semble pas souffrir d’un appauvrissement, qu’il y aura de toute façon « une solution » et que l’homme vaut bien plus qu’une fleur, un oiseau, un poisson, un coléoptère ou un serpent.

        L’homme et la femme sont des créatures précieuses; nous avons raison de nous préoccuper du salut et du bien-être de nos contemporains. Mais nous cherchons, précisément, en tant que chrétiens, à protéger cette nature où Dieu se révèle en partie et que nous sommes appelés à gérer comme de bons intendants mandatés par leur créateur. Nos réserves naturelles et énergétiques sont limitées: l’eau potable manque dans de nombreuses régions du monde (et pose aussi des problèmes de régénération dans nos pays développés), bien des ressources ne sont pas inépuisables… Le pétrole, par exemple, est une énergie fossile qui met extrêmement longtemps à se constituer, mais nous sommes en train de l’épuiser en deux ou trois siècles à peine. Cela vaut aussi pour l’uranium dans nos centrales nucléaires actuelles, grandes consommatrices de ce minerai dont on utilise une part infime (1 à 2%) dans le processus de fission pour en dégager l’énergie tant convoitée…

      Nous devons donc changer nos modes de comportement si l’on veut que les générations suivantes vivent dans des conditions acceptables. Nous avons besoin de sagesse pour gérer l’avenir – notre avenir, mais aussi celui de nos enfants ou de nos petits-enfants… Nous pouvons économiser nos ressources, protéger le patrimoine naturel qui nous est confié, penser aux générations futures et dénoncer l’égoïsme de notre génération. Nous relevons le défi, en tant que chrétiens, de respecter les limites qui nous sont imposées par Dieu. Nous devons essayer de gérer cette création, de « cultiver le jardin », de remplir cette terre et en prendre soin d’une façon intègre, en communion avec notre Créateur, autant qu’il est possible dans le cadre de la « nouvelle alliance » (...)

      Notre point de vue chrétien mérite le respect. Il est porteur d’un projet de vie pour ce monde présent, même si les chrétiens n’en ont pas toujours été les meilleurs témoins, loin s’en faut! Nous avons une vision du monde, de notre prochain, de notre environnement spécifique à la foi en un Dieu créateur. Notre regard se tourne également vers le monde à venir, car nous croyons que Dieu renouvellera un jour cette création. Et nous croyons que notre responsabilité actuelle n’est pas sans conséquences sur le monde à venir.

     Nous savons, en tant que chrétiens, qu’il n’y a pas (et qu’il n’y aura pas) d’écologie parfaite. Nous ne croyons pas que l’homme sera capable d’établir le règne de Dieu sur terre, grâce à son intelligence, son habileté technique, ni même grâce à ses mesures nécessaires de protection de l’environnement ou pour assurer un développement durable. Nous devons rester vigilants et dénoncer la réalité du mal, comme nous devons aussi dénoncer l’utopie du progrès, de la productivité ou de l’écologie qui nous délivreraient de ce mal ancré dans le cœur de l’homme; c’est sur ce point précis que la théologie sous-jacente du mouvement inauguré par le physicien von Weiszäcker nous semble révéler quelque faiblesse.

       Nous ne sommes pas pour autant contre le progrès ou l’évolution des techniques qui nous procurent un certain confort! Mais ce confort, sans Dieu, peut être un piège, dès lors qu’il nous conduit à ne plus reconnaître en Dieu notre Créateur, dont nous demeurons dépendants (cf. Dt 8). Ce confort peut aussi nous donner l’illusion que notre pouvoir sur la création et les créatures est sans limite.

         L’annonce de l’Evangile, la conversion des hommes et des femmes à Dieu, un véritable changement de comportement dans tous les domaines de notre vie peuvent atténuer les effets du mal, tant parmi les êtres humains que dans la nature. La création tout entière sera ainsi mieux respectée. Notre éthique de la création n’apportera sans doute qu’une amélioration partielle. Dieu seul reste souverain pour régénérer cette terre, pour « créer de nouveaux cieux et une nouvelle terre ». Cela ne doit pas nous empêcher de combattre le mal sous toutes ses formes, d’être sensibles à notre environnement, dans une authentique perspective chrétienne, en communion avec Dieu.

           Car prendre soin de la création, dans le temps présent, c’est aussi une façon d’aimer Dieu et notre prochain…

 

                                                                                                Frédéric Baudin

                                                                       

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Publié le 28 Novembre 2015

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