Partage des desserts et des boissons apportés par chacun et moment de fraternisation
Jeux bibliques informels
Chants/versets bibliques/partage d’une bénédiction de l’année 2015
Temps de prière de reconnaissance et d’intercession
Ces moments de partage et de prière qui nous permettent de finir l’année en cours ensemble et de commencer la nouvelle année sous le regard du Seigneur sont toujours des moments précieux pour la communauté des croyants et nous ne voulons pas manquer de telles occasions de fraternité !
Que le Seigneur nous bénisse tous en ces derniers jours de l’année 2015, et en ces temps troublés, qu’il nous remplisse de son espérance et de sa paix qui surpasse toute intelligence!
C'est un chiffre qu'aucune Église ne souhaite donner, de crainte d'allumer des conflits. Chaque année, en France, dans la plus grande discrétion, plusieurs centaines de musulmans se convertissen...
Elle n'a invité personne à venir lui rendre visite ce jour-là.
Or voilà qu'un inconnu se présente soudain devant elle.
En l'entendant parler, il lui devient vite évident que c'est là un messager de Dieu.
En effet, curieusement, il lui dit la même chose qu'à Gédéon dans le passé (Juges 6:12): "Le Seigneur est avec toi!", signe qu'un ordre de mission risque de suivre.
La jeune femme est bouleversée et angoissée. Elle ne comprend rien à ce qui se passe. Et elle se demande ce que tout cela veut bien dire. Comment et pourquoi cet ange de Dieu venu de nulle part peut-il intervenir dans sa vie et venir chambouler son existence de fond en comble? Qui suis-je, se demande-t-elle, pour que Dieu se révèle ainsi à moi?
Alors, comme à Gédéon, encore (Juges 6: 23), et comme à Zacharie (Luc 1:13), l'ange lui dit: "N'aie pas peur!"
Dans notre monde, il y a de nombreuses raisons d'être anxieux. Et nos peurs peuvent parfois être justifiées. Pourtant elles sont parfois irraisonnées, surgissant d'une situation de manque de confiance en soi et/ou de stress.
La Bible n'est pas indifférente à cet état d'esprit qui mine beaucoup de croyants de notre temps. Et elle nous parle à maintes reprises d'hommes et de femmes atteints par un découragement profond, tel Elie par exemple (1 Rois 19), auxquels le Seigneur tend la main pour les aider à remonter la pente.
Car le Dieu de compassion en qui nous croyons est capable de comprendre tout ce que nous ressentons. Il ne condamne pas nos faiblesses et nos insuffisances, bien au contraire!
Il nous prend tels que nous sommes, et avec amour et délicatesse, nous aide à avancer sur le chemin parfois bien long de la guérison intérieure.
Lorsque nous traversons ce genre de moments d'incompréhension, de détresse et d'angoisse, prions le Seigneur avec sincérité, et disons-lui tout ce qui nous tracasse. Rien que le fait de lui en parler nous fera déjà du bien.
Et comme David, nous pourrons alors dire (Ps.56:4): "Quand je suis dans la crainte, je me confie en toi."
"Mes frères et sœurs bien-aimés, que chacun soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère..." Jacques 1:19
À l’heure des réseaux sociaux, chacun peut tout commenter en permanence. Mais est-ce vraiment un bien ?
En direct du monde, des téléphones vibrent, des tweets fusent, des radios bourdonnent. C’est un bruit de fond permanent. Une rumeur continuelle, faite de paroles immédiates, de commentaires à chaud, d’opinions tranchées, d’analyses réduites à quelques mots.
On bavardait aussi jadis, dans les chaumières aux veillées, sur les places de marché ou en lavant le linge au lavoir du village. Pourquoi avons-nous aujourd’hui l’impression d’être davantage envahis par le bavardage ? Peut-être parce que nous ne sommes plus dans des situations de conversations privées, de discussions en tête-à-tête. C’est particulièrement le cas pour les abonnés du réseau Twitter, cet outil qui permet d’envoyer en une fraction de seconde un bref message, comme un abrégé de son existence, à ses correspondants. Chacun peut désormais se poser sur le fil électrique pour gazouiller (twitter, en anglais). Que l’on soit une célébrité ou un illustre inconnu, un sportif renommé ou un homme politique, chacun peut commenter le fil de l’actualité ou le quotidien de sa vie.
La France compte maintenant 60 millions de sociologues, de politologues, de philosophes et de théologiens… en herbe. C’est un gigantesque Café du Commerce virtuel où les opinions se font et se défont, et tout cela en 140 caractères, fautes de frappe en bonus.
Certes, bavarder pour ne rien dire n’a pas que de mauvais côtés. Il est important de savoir dire des futilités. Ce ne sont pas des messages sans importance. Ils mettent de l’huile dans les rouages de la société. Ils permettent de prendre contact avec le prochain. Après tout, quand on dit « Bonjour, comment ça va ? » ou bien « Il fait beau aujourd’hui », ce sont également des propos insignifiants mais qui sont rudement importants pour maintenir des rapports à peu près civilisés !
On pourrait dire également que les réseaux sociaux nous aident à connaître les autres autrement, par les petites choses de la vie, qu’on n’avait pas l’habitude de partager. Ces mots modestes jetés à la volée contribuent donc aux relations sociales.
Tout cela est très bien mais…
Cette société de bavardage peut être dure à vivre, particulièrement pour les grands timides, et les grands silencieux. Le bavardage peut couper également toute communication, spécialement lorsque le beau-parleur volubile est perçu comme un manipulateur dont il faut se méfier.
Le bavardage peut être enfin une maladie qui nous rend incapables d’attention à l’autre et de concentration. On commence par ne plus écouter les profs à l’école, pour ensuite éviter les vrais débats, voire toute discussion.
Alors, existe-t-il un moyen de s’en sortir ? Le seul qui ait fait ses preuves, c’est de réapprendre à écouter l’autre.
Dans les camps du Kurdistan irakien, des femmes d'âge mûr sont source d'encouragement pour la communauté de réfugiés. Une équipe de Portes Ouvertes leur a rendu visite. Ce sont les femmes les...
Dimanche dernier, dernier dimanche de novembre, était normalement le dimanche mis à part par la FEEBF pour encourager nos églises à prier pour la mission et pour soutenir un ou plusieurs projets missionnaires de notre Fédération.
David et Jessie Boydell, les orateurs que nous avions pressentis, étant pris par ailleurs ce jour-là, nous avons déplacé notre dimanche missionnaire d'une semaine.
C'est donc demain, dimanche 6 décembre, qu'ils viendront nous parler de l'EBMI (Eglises Baptistes en Mission), et plus particulièrement d'un projet missionnaire qu'ils suivent de près en Turquie.
Soyons nombreux à les accueillir, et venons ainsi recueillir toutes sortes de sujets d'intercession concernant le ministère de nos envoyés dans d'autres contrées de notre globe !
Rappel:
A cause de l'état d'urgence décrété par le président de la République, et pour des raisons de sécurité, la direction de l'école Blanche de Castille nous demande de fermer la grille à clé après l'arrivée des participants à nos cultes dominicaux. Pensez donc à arriver avant l'heure afin que personne ne soit obligé de faire des va-et vient incessants pour ouvrir aux retardataires!
Le trio "Godspel" se produira ce samedi 5 décembre à Orly
de 8h30 à 10h30 !
Si vous voulez venir les écouter, il faudra vous lever tôt !
Ils chanteront negro-spirituals et chants Gospel
au terminal ouest, niveau 1, porte G
Bienvenue !
Si vous ne pouvez pas venir, ou que vous n'ayez pas le courage de vous lever tôt un samedi matin, priez pour que tout se passe bien et que les chants qu'ils chanteront pourront toucher les coeurs de ceux qui les entendront...