Après avoir lu le reportage suivant, si vous voulez apporter une aide financière pour aider les sinistrés du Népal, au moment de l'offrande du prochain culte, mettez votre don dans une enveloppe avec la mention "Aide d'urgence au Népal" .

         Le trésorier de notre communauté fera parvenir ce don au MEDAIR, une ONG d'inspiration évangélique qui a immédiatement mobilisé son équipe d'urgence et d'évaluation après le séisme qui a frappé le Népal, ce samedi 25 avril, afin de répondre à la situation sur le terrain, et de pourvoir aux besoins les plus urgents des personnes affectées par ce désastre naturel.

 Communiqué du 28 avril 2015

           L’équipe de réponse d’urgence de Medair, composée de spécialistes de la reconstruction, de la santé et de la logistique, est arrivée aujourd’hui au Népal pour mener une évaluation et mettre en place une aide humanitaire rapide, suite au séisme de grande ampleur qui a frappé le pays ce samedi.

            Au moins 3 600 personnes ont perdu la vie lors de ce séisme de magnitude 7.8 et de ses répliques, et plus de 6 500 sont blessées. Selon les médias, des camps de fortune ont émergé un peu partout dans la capitale du Népal, Katmandou. Des milliers de personnes dorment ainsi dans la rue, dans la crainte ou l’incapacité de retourner chez elles.

        Les hôpitaux sont débordés et les ressources médicales et l’eau commencent à manquer. « Le séisme a causé d’immenses dégâts et des milliers de personnes se retrouvent sans abri, ni accès à de vrais soins de santé », explique Manuel Jagourd, en charge de l’équipe de réponse d’urgence de Medair. « Les zones rurales et montagneuses ont été particulièrement touchées par le tremblement de terre.

         Mais il y a peu d’information, car ce sont des endroits très difficiles d’accès, et la pluie et les risques d’éboulements rendent ces routes de montagnes encore plus dangereuses. Notre équipe va sillonner le pays pour atteindre ces villages et s’assurer que les victimes puissent recevoir l’aide dont elles ont besoin. »

         Medair va concentrer ses efforts sur l’évaluation des besoins en termes d’abris, de soins de santé et d’hygiène, et distribuera des articles de première nécessité. Notre équipe fournira également des kits de santé d’urgence.

       Rappel: Medair aide les personnes en situation de détresse, dans les régions isolées et dévastées du monde, à survivre aux crises, à se relever dans la dignité et à développer leurs compétences pour se construire un avenir meilleur.

        A l'aéroport, il y a des moments où c'est l'affluence... surtout en période de vacances scolaires, comme en ce moment.

        Toutes sortes de voyageurs se pressent dans les galeries et les coursives. Les uns tirent une ou plusieurs de ces valises modernes dont on ne peut deviner le poids, tant elles roulent bien. C'est seulement au moment fatidique de l'envoi en soute que l'on saura si elles ne sont pas trop lourdes... D'autres se sont harnachés d'un énorme sac à dos bosselé, dont dépasse un tapis de sol tout râpé, et parfois même un duvet élimé qui a vu des jours meilleurs. Et tous ou presque, portent à la main ou en bandoulière, un sac dans lequel se devine, entre autres, un ordinateur portable.

             En arrivant au guichet d'enregistrement, sous les yeux scrutateurs d'un agent d'escale, ils vont déposer chacun à leur tour leurs bagages les plus pesants sur un tapis roulant qui les fera vite disparaître, comme par enchantement. Ils ne garderont avec eux que ce qui est plus léger, plus maniable et moins encombrant. Ainsi délestés de ce qui les alourdissait considérablement, ils vont pouvoir pénétrer dans l'avion, et être plus tranquilles pendant le voyage, jusqu'à l'arrivée où ils pourront récupérer leur bien.

              Dans la vie, nous avons beaucoup de bagages à porter... des lourds et des moins lourds, certains qui nous encombrent et nous empêchent d'aller de l'avant, d'autres très légers, mais que nous avons parfois du mal à lâcher, tellement nous y tenons. Il y a le poids des malheurs du passé ou des souffrances plus récentes, pas encore bien cicatrisées. Il y a les deuils mal gérés, l'absence d'êtres chers que l'on ressent profondément, et le manque au quotidien de leur affection à laquelle on prêtait à peine attention tant elle semblait naturelle. Il y a les ruptures digérées de travers, et les déchirures qui font encore mal. Il y a les échecs de la vie que l'on rumine amèrement, en se demandant à quel moment les choses ont commencé à déraper, et ce qu'on aurait pu ou dû faire pour éviter les conséquences désastreuses qui se sont ensuivies.

       Et puis, il y a tous ces poids d'objets que l'on accumule au cours de l'existence, et qui nous semblent indispensables: on en a tant besoin... Je me souviens d'un vieil homme que j'avais rencontré quand j'étais aumônier dans un hôpital gériatrique. Un jour que je lui rendais visite dans la pièce minuscule qui lui avait été impartie, il me dit: "Vous voyez cette chambre?" Puis, balayant l'espace d'un geste large, il avait continué en ces mots: "J'ai ici une penderie pour mettre le peu de vêtements dont j'ai besoin dans ce lieu, et une petite table de nuit avec un tiroir pour les souvenirs de toute une vie... Quand on a son chez-soi, on croit qu'on a besoin de tant de choses qui nous semblent indispensables. Mais, quand on arrive ici, on se rend compte que finalement, tout ça, ce n'était que des poids inutiles, et qu'au bout du compte, on a besoin de si peu de choses pour vivre... Et puis, le reste, les souvenirs personnels les plus intimes et les plus importants, je les garde tout au fond de mon coeur, et personne ne peut me les prendre!"

        La Bible nous parle de poids et de fardeaux que les êtres humains que nous sommes portent plus ou moins volontairement. Il y a ceux dont on se plaint peut-être, mais dont, au fond, on n'a pas toujours envie d'être déchargés. Il y a ceux dont on se débarrasse pour un temps, pour en être libérés provisoirement, et qu'on reprend au bout d'un moment comme ces bagages que l'on dépose au bureau d'enregistrement avant de faire un long voyage. Et puis il y a ceux qui nous oppriment, et que nous aimerions voir disparaître définitivement.

       "Venez à moi, vous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos...", nous dit une voix chaleureuse et prenante rapportée par l'évangéliste Matthieu (Mtt.11:28-30).

       C'est la voix de Jésus qui appelle. Sans contraindre qui que ce soit ni s'imposer, le Seigneur invite tous ceux qui sont las, usés, à bout de forces, à aller vers lui, lui qui n'est pas seulement celui qui donne du repos, mais qui est lui-même le repos.

        Oui, le Seigneur veut nous débarrasser de nos fardeaux inutiles afin d'alléger notre existence souvent surchargée. Quant à ceux qu'il nous faut garder, il est prêt à nous en débarrasser provisoirement pour nous soulager, et nous permettre de souffler un peu. Il nous aide ensuite à les reprendre tout en nous accompagnant pour nous aider aussi à les porter.

        Ainsi ne sommes-nous jamais seuls, car il est là à nos côtés, cheminant avec nous sur la route de la vie.

       "Venez à moi, vous qui êtes fatigués et chargés", nous dit-il, "et je vous donnerai du repos..."

                                                                                                                           Anniel Hatton

Une nuit, je fis un rêve :

Je marchais sur le sable avec mon Seigneur.

Sur le ciel noir des épisodes de ma vie furent projetés,

Comme sur un immense écran.

Et sur le sable je voyais à chaque fois deux traces de pas :

Les miens, et ceux de mon Seigneur.

Après la dernière scène de ma vie, je me retournai.

Je fus surprise de voir par endroits

Les traces d’une seule personne.

Je me rendis compte

Que je traversais alors les moments les plus difficiles

Et les plus tristes de ma vie.

Inquiète, je demandai au Seigneur :

«Le jour ou j’ai décidé de te suivre

Tu m’as dit que tu marcherais toujours avec moi.

Mais je découvre maintenant

Qu’aux pires moments de ma vie

Il n’y a les empreintes que d’une seule personne.

Pourquoi m’as-tu abandonnée

Lorsque j’avais le plus besoin de toi ? »

Il me répondit :

« Mon enfant chérie, je t’aime

Et je ne t’abandonnerai jamais, jamais, jamais,

Surtout pas lorsque tu passes par l’épreuve.

Là ou une seule personne a marqué le sable de ses pas,

C’était moi qui te portais. »

                                                        Margaret Fishback Powers

Alain, qui es-tu, au fait ?

      Pour expliquer ce que je suis, il faut remonter à mes 15 ans. J’étais alors un jeune garçon qui se contentait de vivoter et de rêver comme tant d’autres. Je n’avais pas de vrai projet. J’aimais déjà bien la BD mais sans plus. Un jour, je suis tombé sur un tas de BD parmi les livres à jeter que nous ramassions mes copains et moi. C’est là que j’ai vécu le grand tournant de ma vie.

Raconte-nous pourquoi !

       Eh bien! cette collection de BD n’était pas comme les autres. C’était une série qui s’appelle «Tournesol». Elle parlait d'histoires vécues, de gens divers et de leurs expériences avec Dieu. La plupart témoignaient que leur vie avait changé.

       Jusque-là, j’avais toujours cru que Dieu, le catéchisme, la Bible, la religion avaient été inventés pour embêter les gens. J’ai été très surpris d’apprendre que des gens étaient passés par une nouvelle naissance grâce à leur foi. Mon regard sur la religion a alors commencé à changer. J'ai pris conscience que le fait de croire en Dieu pouvait me donner la force d'aller plus loin dans ma vie et m'aider à voir les choses de manière plus positive.

Qu’est-ce que cela a changé pour toi ?

        J’ai fait la connaissance de Jésus. Une créativité débordante m'a alors envahi. J'ai appris à jouer de la guitare, à lire, à dessiner, jusqu'à y passer des nuits blanches.

          Bref, j'ai retrouvé une nouvelle joie de vivre. Je voulais dire aussi à tous ceux que je rencontrais que Jésus avait changé ma vie et qu’il pouvait modifier la leur aussi.

          Au début, je pensais que j’étais seul à croire en Jésus. Je n’allais d’ailleurs pas à l’église. Vivre tout seul avec Jésus me suffisait. Je ne connaissais que les églises officielles et me rendais compte que peu de gens partageaient mon enthousiasme.

Etre chrétien, qu'est-ce que cela signifie pour toi?

         Pour moi, un chrétien c’est quelqu’un qui vit avec Jésus, en accord avec lui. Jésus est son ami. Forcément, cette proximité change quelque chose. Avec Jésus, on a d’autres valeurs. Cela transforme notre vie.

        Pour moi, être chrétien ce n’est pas avoir son nom dans un registre officiel. Il ne suffit pas d’y croire superficiellement non plus. Je parle avec Jésus tous les jours; je partage avec lui tous mes soucis.

Comment t’es venue l’idée de dessiner ?

         Au début, je faisais comme beaucoup d’autres écoliers. Quand les cours m’ennuyaient, je dessinais. Cela m’amusait et m’aidait à passer le temps. Petit à petit, j’ai compris que je pouvais communiquer des choses avec le dessin et comme depuis que je connaissais Jésus, j’avais envie de partager l’Évangile autour de moi, je me suis mis à dessiner dans ce but. Mes dessins n’avaient pas grande valeur mais c’est ainsi que j’ai commencé.

Penses-tu que dessiner s'apprend ou qu'il suffit d'avoir du talent ?

        Je rencontre souvent des gens bien plus talentueux que moi. Dans mon cas, j'ai commencé par prendre des cours de dessin en privé pour me perfectionner, puis j'ai suivi une école d'art en Suisse pendant 5 ans. Au début, cela a été difficile pour moi car c’est tout un monde que je ne connaissais pas. Je n’avais rien compris de Picasso avant. J'en suis sorti avec un diplôme de graphiste après beaucoup de travail et de persévérance.

Peux-tu nous dire pourquoi tu as créé Grunch ?

            Ce n’est pas avec lui que j’ai commencé. Il y a eu tout d’abord Idées reçues. Ensuite, il y a eu Marcel. À travers eux, je voulais atteindre les gens pour leur parler de Jésus. Cependant, je me suis rendu compte que c’était plus les chrétiens qui lisaient mes albums que les non-croyants.

         J’ai donc voulu créer une BD qu’on pourrait trouver ailleurs que sur les rayons des librairies chrétiennes. Pour cela, il m’a fallu imaginer une autre manière de faire. D’ailleurs, à mon avis, il est impossible que les gens écoutent les bonnes choses que vous voulez leur dire s’ils ne voient pas d’abord que vous les écoutez.

          Avec Grunch, j’essaie de partir de leurs préoccupations quotidiennes, des situations qu’ils vivent, pour les amener sur d’autres sujets et les faire réfléchir sur le sens de la vie, les vraies valeurs… Je procède par étapes.

Es-tu satisfait des résultats ?

        Je suis encouragé de voir que, grâce à mes albums, des chrétiens arrivent plus facilement à témoigner de leur foi. Je reçois aussi très régulièrement des échos de personnes qui se convertissent. On m’invite aussi à parler de ma foi dans toutes sortes d’endroits. Cela me fait énormément plaisir.

Peut-on vivre de ses dessins quand on est chrétien ?

         Pendant bien des années, il nous est souvent arrivé à ma femme et moi de ne pas savoir si nous aurions à manger en fin de semaine. Nous n’avions plus un sou. Je peux témoigner que Dieu est venu à chaque fois à notre secours.

      Aujourd’hui, les choses ont un peu changé mais c’est toujours la même foi qui nous anime et nous invite à prendre des décisions difficiles: par exemple lancer l’impression d’un album sans avoir le premier sou pour le financer.

            Dieu a toujours été au rendez-vous et je suis certain qu’il le sera toujours. La vie est belle quand on vit avec Jésus et qu’on lui confie tous ses soucis.

         J’avais environ 15 ans. Je poursuivais à l’époque mes études secondaires en Belgique, où l’on a le choix entre plusieurs cours de religion et celui de « morale ». Tout jeune converti, j’avais choisi ce dernier. En fait, je voulais confronter ma foi et pouvoir ainsi mieux en témoigner. 

           Les occasions n’ont effectivement pas manqué. Le professeur n’a pas eu de peine à me repérer. Je le revois encore tenir ostensiblement un ouvrage devant les élèves tout en me regardant avec son petit air moqueur. Le titre de la couverture que chacun pouvait lire : « Jésus a-t-il réellement existé ? ».

         Je l’entends aussi nous dire à une autre occasion que lorsqu’un produit est efficace, cela finit par se savoir et c’est pour cela qu’on continue à l’utiliser. Il prenait pour exemple le dentifrice en disant : s’il n’était pas efficace, on ne s’en servirait plus. Et d’ajouter : « cela fait 2.000 ans que le christianisme existe et il n’a toujours pas montré son efficacité ». 

       Je n’étais évidemment pas très heureux d’entendre ses petites remarques assassines et il ne m’était pas toujours possible de lui répondre en pleine classe. Mais au moins cela m’a aidé à réfléchir…

      Bien des années plus tard, j’y pense encore… Ce professeur ignorait-il tout ce que l’humanité doit au christianisme ? Plus important : ne savait-il pas que pour vérifier l’efficacité d’un produit il faut commencer par s’en servir soi-même ? De préférence selon le mode d’emploi, bien sûr.

        Il aurait alors expérimenté que le christianisme, ça marche !

         Cela fait en tout cas 2.000 ans que le Christ répond à la prière de ceux qui s’adressent à lui et qu’il change des vies. Des millions de gens peuvent en témoigner.

            Encore faut-il lui en donner la possibilité !     

                                        Aujourd'hui, jeudi 23 avril, à 19h15:

       Le temps de partage biblique sera réduit de moitié pour laisser davantage de place à la prière.

                                       Sujet de prière essentiel pour ce soir:

un nouveau local où nous réunir et louer le Seigneur ensemble, avec bureau d'accueil pastoral et au moins deux salles annexes pour l'école biblique des enfants et les réunions de semaine.

      L'oratoire du 2, rue Franche Comté, dans lequel nous nous réunissons actuellement, est agréable et familial, mais trop exigü. De plus, nous n'en disposons que deux fois par semaine, le dimanche matin pour le culte et le jeudi soir pendant 1h30. 

                                   Si vous ne pouvez pas vous joindre à nous,

merci de faire de cette requête importante pour l'avenir de notre communauté un des sujets principaux de vos prières quotidiennes!

        Né en 1988, Nathan Minard est technicien agricole passionné de construction et conception de machines et missionnaire de l'EBMI. Depuis novembre 2014, il se trouve à Garoua, au Nord Cameroun, une région de notre globe menacée par des incursions de groupes armés très violents.

        Que le temps passe! Il y a quelques dizaines d'années, notre pasteur William Hatton présidait au mariage de ses parents, Lionel et Gudrun Minard, dans les locaux de l'église baptiste d'Antony! Gudrun était déjà missionnaire au Cameroun depuis un certain temps, pays de ministère où son mari Lionel allait bientôt la rejoindre...

        Nathan grandit donc au Nord Cameroun en tant qu'enfant de missionnaires, entouré de 5 frères et soeurs. Mais lorsqu'il a 14 ans, toute la famille rentre définitivement en France. Baptisé à l'âge de l'adolescence à l'église baptiste de Chauny où son père est pasteur, il reçoit un appel du Seigneur à retourner sur les terres de son enfance.

       Pour ce faire, il suit un parcours scolaire professionnel qui l'aidera à être plus efficace sur le terrain (BEPA Production Végétale, Bac pro Conduite et Gestion des Exploitations Agricoles, BTSA Génie des Équipements Agricoles, Licence pro Surveillance et Pilotage de Processus).

       Après avoir travaillé 1 an en tant que mécanicien agricole, il décolle pour partir au Cameroun avec un autre jeune collaborateur, David Lecoeuvre, comme Volontaire de Solidarité International.

       Son activité consiste alors à concevoir et fabriquer des machines de transformation agricole.  Après un séjour de 2 ans, et un retour de quelques mois en France, Nathan repart en Afrique à la demande de L’Union des Églises Baptistes du Cameroun.

Elle a lieu sur 2 sites à Garoua: 

1. Centre Technique de Garoua

• Développer, améliorer des machines de transformation agricole,
• Mise à jour et informatisation des plans des produits du CTG,
• Organiser le travail dans les ateliers,
• Améliorer la production et la qualité des produits.

2. Collège Polyvalent Baptiste La Grâce

• Suivre les travaux de finition du chantier,
• Mettre en place l'équipement prévu,
• Assurer et suivre la mise sur pied de toutes les filières techniques.

        Prions pour ce jeune missionnaire que notre église soutient financièrement par le truchement de ses dons à la FEEBF, et qui présente son ministère en ces mots: « Le service est mon moyen pour témoigner de ma vie en tant que chrétien".

        Prions pour sa protection et celle de Vanessa Cavelier alors qu'ils exercent tous deux leur ministère dans une contrée actuellement extrêmement menacée...

        "Nous avons des dons différents que nous devons utiliser selon ce que Dieu a accordé gratuitement à chacun." (Rom. 12:6)
       "Il y a diverses façons de servir, mais c'est le même Seigneur que l'on sert." (1 Cor. 12:5)
       "Toutes les fois que vous l'avez fait à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi (Jésus) que vous l'avez fait." (Matt. 25:40) »

           Gouverner le monde et assurer la sécurité aux peuples est une lourde responsabilité et une tâche bien difficile.

            Des évènements très divers en ce début d’année ont pu contribuer à révéler des craintes, des peurs, des angoisses bien perceptibles depuis longtemps. Et quand des accidents, des drames, des déchaînements de violences et d’actes horribles se produisent à nos côtés, comment ne pas s’interroger sur le devenir de la civilisation?

            Où trouver un lieu sûr ? Sur qui s’appuyer ?

           Les «Grands» tentent de rassurer et de trouver des remèdes aux maux imparfaitement diagnostiqués, tout en tremblant eux-mêmes face à leur impuissance.

             Où trouver force et secours ?

            La réponse serait-elle dans ces paroles surprenantes d’un grand roi :

        « Mon Dieu est pour moi un rocher où je suis à l’abri du danger, un bouclier qui me protège, une forteresse où je suis sauvé. Je cherche asile auprès de lui pour être délivré des violents.

       Qu’on acclame (Dieu) le Seigneur ! Dès que je l’appelle au secours, je suis délivré de mes ennemis. La Mort faisait déferler ses vagues sur moi, elle m’effrayait comme un torrent destructeur ; j’étais presque prisonnier du monde des ombres, son piège se refermait sur moi.

        Dans ma détresse j’ai appelé (Dieu) le Seigneur, j’ai lancé mes appels vers mon Dieu. De son temple il a entendu ma voix, il a bien voulu écouter mon cri.»

           (Extrait d’un chant du roi David - La Bible, livre de 2 Samuel 22.3-7, version BFC)  

       Que ces paroles deviennent et soient les nôtres, les vôtres! Que chaque jour l’expérience d’une relation bienfaisante avec Dieu soit le moteur de notre vie!

                                                                                                          Daniel Graber

         Editorial tiré du site de "Média Espérance", organisme missionnaire qui publie de petits fascicules et des cartes chrétiennes dans lesquels on peut trouver un message biblique d'encouragement et d'espoir... 

        Un bon moyen de partager l'Evangile avec nos familles et nos amis en les encourageant !

Son parcours

       Née en 1983, Vanessa est infirmière diplômée d'Etat, membre de l’église baptiste de Lyon et actuellement missionnaire de l'EBMI à l’hôpital de l’Espérance de Garoua, au nord du Cameroun.

       Passionnée par son métier, depuis sa conversion et son baptême à l’âge de 19 ans, elle a toujours été désireuse de mettre les capacités que le Seigneur lui a données d’acquérir au service de Dieu et de son prochain.

       Après un stage au Sénégal en 2004, elle se sent appelée à servir Dieu en Afrique. Pour ce faire, dès la fin de ses études d’infirmière, elle décide d'élargir son champ de compétences professionnelles durant 8 ans en travaillant en service de psychiatrie, médecine, chirurgie ainsi qu’auprès de personnes sans-domicile fixe.

       Le Seigneur a utilisé toutes ces années pour l’aider à grandir spirituellement et pour faire mûrir son projet de le servir dans un autre pays.

Sujets de prière

       Prions pour son travail au quotidien, son témoignage chrétien en milieu hospitalier, ses relations avec les autres soignants, et sa sécurité dans une région de notre globe actuellement très perturbée.

       Pour alimenter notre prière, voici un petit rappel des responsabilités qui lui incombent :

Participation aux soins infirmiers en collaborations avec les majors des services ;

Animation de la formation interne du personnel paramédical (une séance de formation par semaine d’une heure environ) en collaboration avec le médecin-chef et le surveillant général ;

Création d’un service de prise en charge des personnes séropositives en collaboration avec le surveillant général et l’aumônier ;

Organisation de séances de causeries éducatives avec des groupes de femmes ou de jeunes dans les églises environnant l’hôpital ;

Animation de séances de consultations préscolaires, prénatales et vaccinales dans le but de réduire la malnutrition et les risques liés à la grossesse, etc...

Pour suivre les étapes de la vie de Vanessa au Cameroun avec ses difficultés et ses joies : vanessacameroun.blogspot.fr

"Ne te fie pas à ta propre intelligence,  mais place toute ta confiance dans le Seigneur. Appuie-toi sur lui dans tout ce que tu entreprends et il guidera tes pas." (Proverbes 3:5-6)